Editorial
L’UPF a encore de meilleures raisons pour parler « Environnement »
Par Madiambal DIAGNE *
L’Union internationale de la presse francophone (UPF) ne peut que joindre sa voix au concert de désapprobations de la décision de l’administration Trump de retirer les Etats unis d’Amérique de l’accord mondial sur le climat, signé par 195 pays en décembre 2015 à Paris. En effet, cet accord exceptionnel, conclu sous l’égide de l’Organisation des Nations unies, était porteur d’espoirs pour toute l’humanité et avait permis de mieux faire percevoir les enjeux climatiques et environnementaux, quant à l‘avenir de la Terre.
L’UPF avait souhaité apporter sa contribution aux efforts du monde, en vue de placer ces préoccupations, devenues de plus en plus pressantes, au cœur de l’actualité. Ainsi, avions-nous notamment engagé une initiative d’organiser des Symposiums internationaux de haut niveau, afin de mieux outiller les membres et sympathisants de notre organisation aux problématiques liées à l’environnement. Dans la foulée de la Cop 21 tenue à Paris donc, l’UPF avait organisé en mars 2016, son premier Symposium international à Monaco, autour des questions environnementales. Le premier Symposium était destiné aux pays du bassin de la Mer Méditerranée et avait été marqué par un succès éclatant. La réussite de l’événement avait autorisé l’organisation de la deuxième édition à Ben Guérir (Maroc), en avril 2017 ; cette fois-ci au profit des pays africains.
C’est dire que l’UPF a trouvé une belle opportunité pour non seulement faire de l’animation scientifique au profit de ses membres mais aussi a su développer des partenariats dynamiques avec des acteurs internationaux. La décision des Etats unis qui peut constituer une menace réelle quant à l’avenir de la Convention mondiale sur le climat ne devrait cependant pas nous décourager encore moins nous dissuader de poursuivre nos initiatives. Bien au contraire ! Nous devons adopter une telle problématique afin surtout de mieux sensibiliser les opinions publiques mondiales et les acteurs des médias à l’importance des enjeux climatiques. Plus que jamais, l’UPF aura à parler Environnement.
*Président international
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Le 18 mai a eu lieu une réunion de travail au siège de l’UPF à Paris entre l’Union Internationale de la Presse Francophone et Action Médias Francophone. Cette rencontre avait pour but d’élaborer une plateforme permettant de proposer aux sections de l’UPF l’expertise et le savoir faire de formateurs compétents et proposant leurs services bénévolement.
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Un journaliste travaille à visage découvert. Les usages et les règles déontologiques sont clairs : un journaliste s’interdit "tout moyen déloyal et vénal pour obtenir une information". Ne pas décliner sa fonction ou se faire passer pour ce qu’on n’est pas est bien "déloyal". Mais des caméras cachées à l’infiltration, le recueil discret d’informations se répand.
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Offrir aux journalistes du monde entier la garantie que leur travail d’investigation sera poursuivi s’il devait leur arriver malheur, c’est la promesse de cette nouvelle plateforme d’information. Soutenue et financée par Reporters sans frontières. Son lancement est prévu pour septembre.
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Afgan Mukhtarli, qui a travaillé plusieurs années en Azerbaïdjan pour des médias d’opposition, avait disparu lundi à Tbilissi et est réapparu le lendemain dans une prison à Bakou. Malgré les dénégations officielles de Bakou et la promesse du ministère géorgien de l’intérieur d’enquêter sur les faits, mercredi 31 mai, la disparition d’Afgan Mukhtarli apparaît d’ores et déjà hautement suspecte.
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Alors que le journaliste Mathias Depardon est arbitrairement détenu depuis près d’un mois en Turquie, Ankara organise un voyage de presse tous frais payés pour les journalistes français. Soulignant la « cruelle ironie » de cette situation, Reporters sans frontières (RSF) appelle les médias à boycotter ce type de déplacements tant que le photographe n’est pas libéré.
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Les médias sociaux en Afrique font l’objet de tous les espoirs et de toutes les peurs.
Espoir pour l’émancipation d’une société civile amorphe, peur de la part des gouvernants qui craignent la montée d’un contre-pouvoir.
Dans un article, Charlotte Cross, dénonce la radicalité des positions autour des réseaux sociaux.
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La salle de formation de la Direction Régionale de la Santé de Boké (DRS) a servi de cadre le lundi 22 mai pour la tenue de l’atelier de formation et de vulgarisation du code de bonne conduite des journalistes en période électorale. Cette formation a été un véritable espace d’échange et de débat entre les formateurs et les 17 journalistes participants.
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Les Organisations professionnelles des médias et des Organisations partenaires ont animé une conférence le mardi 30 mai 2017 à la Maison de la presse à Abidjan, pour annoncer le retrait « momentané » des deux projets d’amendements aux lois jumelles sur les médias votés en Commission à l’Assemblée nationale le 05 mai dernier. Les deux textes ont été retirés du programme de la session plénière du Parlement du mercredi 31 mai.
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Le président de La Presse Pierre-Elliott Levasseur a annoncé jeudi que l’entreprise cessera la publication de sa version papier le samedi dès le 30 décembre. Le média deviendra alors 100% numérique par le biais de sa plateforme La Presse+.
Cette réorganisation de la salle de rédaction entraînera la mise à pied de 49 employés permanents et temporaires.
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Pour la première fois, les médiateurs de médias publics francophones se sont réunis à Paris pour évoquer leurs expériences. L’occasion de mieux comprendre comment Suisses, Belges et Canadiens créent des liens avec leurs auditeurs et téléspectateurs, et comment ils considèrent le dispositif français.
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La récolte de fonds pour le lancement de deux médias en ligne indépendants et exempts de publicité rencontre un franc succès. « Bon pour la tête » va démarrer sur les ruines de L’Hebdo. En Suisse alémanique, le compteur des abonnés éditeurs de « Republik » a explosé. La montée de courants antidémocratiques et la diversité menacée des médias ont servi d’éléments déclencheurs.
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Cette 3e édition se tient à Ouagadougou du 9 au 11 juin 2017. Cet appel s’adresse aux participants résidant au Burkina Faso.
Vous résidez au Burkina Faso ? Vous avez entre 18 et 35 ans et vous êtes journaliste, éditeur et producteurs de contenus, codeurs, développeurs web ou mobile, concepteurs graphiques ou audiovisuels ? Participez à ce marathon de l’innovation.
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La section française de l’UPF a tenu son Assemblée générale ordinaire annuelle le 18 mai 2017, dans les locaux de TV5 Monde à Paris, sous la présidence de Gérard Bardy, président de l’UPF-France.
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Après une assemblée générale constitutive de plus d’une heure, une vingtaine de journalistes ont créé la section UPF Guyane. Cette dernière est désormais la voix amazonienne de l’UPF internationale, une organisation internationale non gouvernementale (OING) créée en mai 1950, qui compte plus de 3000 membres parmi les professionnels répartis dans l’ensemble des pays francophones. Un atout pour les journalistes de Guyane.
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La section Camerounaise de l’Union internationale de la presse francophone a choisi de marquer une pause ce 03 mai pour réfléchir sur les solutions à apporter au climat de morosité et de défiance des professionnels des médias. Le symposium, organisé à Bafoussam sur le thème : « la presse régionale comme levier de développement local et vecteur de l’unité nationale » a permis aux journalistes venus de différentes régions du Cameroun de confronter leurs points de vue.
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A l’occasion de la célébration de la Journée internationale de la liberté de la Presse, la Section sénégalaise de l’UPF a organisé le 6 mai dernier, une rencontre sur la réforme de l’Audiovisuel public. Un sujet qui a été introduit par Mansour SOW, Journaliste-Consultant, ancien Directeur des Services de la Radio Télévision du Sénégal (RTS).
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Invités par l’École européenne 117 de Bucarest le jeudi 25 mai, les journalistes Romina Surugiu et Laurent Couderc, membres de l’UPF Roumanie, ont expliqué leur métier, son quotidien, ses difficultés et défis aux élèves et professeurs. Comme à chaque fois, leur attention fut maximale, ils se sont montrés très curieux.
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