L’UPF et l’OIF consolident leurs liens
Chère consœur, cher confrère,
Tout d’abord, un grand MERCI à chacune et à chacun d’entre vous qui, directement ou par la voix de vos présidents respectifs, m’avez fait confiance en m’élisant Secrétaire générale de notre organisation.
Cette confiance est pour moi la valeur suprême qui me fait porter encore plus haut le drapeau de l’UPF, la plus ancienne des organisations de la Francophonie qui est aussi l’une des plus jeunes si l’on regarde sa dynamique de développement.
Cette dynamique, enclenchée depuis 2013 à Casablanca, on la doit aussi au bureau international qui s’était formé à Dakar, en 2014, et à chacune des sections, soit-elle la plus petite par le nombre de ses adhérents ou la plus éloignée géographiquement de notre siège parisien.
J’ai déjà eu l’occasion de le dire, lors de notre rencontre en Arménie, en octobre dernier, et je le répète avec conviction : toutes les sections de l’Union de la Presse francophone ont la même valeur, et on veillera à ce que la voix de chacune d’entre elles soit entendue et portée aux instances internationales pour favoriser l’émulation collective.
Depuis 2014, sous la présidence de Madiambal Diagne, l’équipe internationale de l’UPF n’a eu de cesse d’enregistrer des succès remarquables qui ont placé notre Union parmi les associations professionnelles de journalistes les plus crédibles sur la scène internationale. La récente reconnaissance de l’UPF par l’UNESCO en tant que partenaire consultatif en est l’une des preuves les plus tangibles.
L’UPF va continuer sur cette lancée en s’associant avec des organisations internationales les plus respectées. Le premier pas dans cette direction - des projets communs avec l’Organisation internationale de la Francophonie, partenaire naturel de l’UPF, autour du Village de la Francophonie lors du prochain Sommet qui aura lieu en 2020 à Tunis.
Avec tous mes vœux de bonheur et de réussite pour chacun d’entre vous,
Zara NAZARIAN
Secrétaire générale internationale
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Après une édition réussie des assises de la presse francophone à Tsakhkadzor (Arménie), l’Union de la presse francophone sera présente, durant ce mois de novembre, à Tunis où elle est partenaire de la première édition internationale des assises du journalisme et à Kigali où elle organise son troisième symposium international sur le thème « médias, prévention, santé ».
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Il a déjà été question ici de l’anonymat du journaliste*. Il peut être parfois nécessaire pour obtenir une information. Mais si la règle générale est de travailler à visage découvert, un journaliste peut-il taire une partie de ses intentions ? La question est revenue plusieurs fois ces derniers mois.
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A sa sortie aux Etats-Unis, en 1917, le célèbre film de Charlie Chaplin s’appelait "The immigrant". A sa sortie en France, le titre était devenu "L’émigrant". Question de point de vue ... géographique. Un siècle plus tard, les organisations humanitaires et les médias préfèrent parler de "migrants". Le terme paraît correspondre davantage aux grands courants migratoires de notre époque qui ne se fixent pas forcément sur un pays donné. Et il est supposé être moins péjoratif que le mot "immigrant".
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L’Union de la Presse Francophone de Djibouti a lancé, le mari 30 octobre, les travaux d’une première session de formation consacrée aux législations sur les médias, sur un financement de l’Union Européenne.
Une autre formation, toujours à destination des journalistes djiboutiens, va suivre au cours de ce dernier trimestre de 2018, relative cette fois-ci aux femmes et aux médias.
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Tunis, capitale de la Tunisie s’apprête à organiser les premières assises internationale du journalisme et ceux dans le cadre des activités qu’organisent l’Union internationale de la presse francophone.
Favoriser la rencontre et les échanges entre les journalistes des deux rives de la Méditerranée », c’est l’ambition de la première édition des Assises Internationales du Journalisme de Tunis.
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Le Journalisme face aux réseaux sociaux : Enjeux et contraintes d’une profession à l’ère de la démocratie numérique. C’est le thème du séminaire atelier organisé par la section UPF-Cameroun les 10 et 11 novembre 2018, Yaoundé.
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L’Union de la Presse Francophone s’indigne de la violente agression de notre confrère Samir Mathieu, journaliste à France-Guyane, survenue dans la nuit de mercredi 31 octobre à jeudi 1er novembre 2018.
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En décembre 2013, lors de sa 68e session, l’Assemblée générale des Nations unies a proclamé le 2 novembre Journée internationale de la fin de l’impunité pour les crimes commis contre des journalistes. Une date choisie en mémoire de l’assassinat de Ghislaine Dupont et Claude Verlon, au Mali, le 2 novembre 2013. Partout dans le monde, des journalistes sont tués pour l’exercice de leur métier, celui d’informer les populations. Le continent africain ne fait pas exception.
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A l’occasion de la célébration, vendredi 2 novembre 2018, de la « Journée Internationale de lutte contre l’impunité des crimes commis contre les journalistes », Journaliste en danger (JED) a rendu public son Rapport annuel 2018 sur l’état de la liberté de la presse et d’expression en République Démocratique du Congo intitulé « Journalistes et Médias sous pression : Les élections de tous les dangers ».
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La Commission présidée par Christophe Deloire et Shirin Ebadi divulgue ce 5 novembre la “Déclaration internationale sur l’information et la démocratie”, qui pose les garanties démocratiques dans l’espace global de l’information et de la communication.
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Malgré une traque sans merci menée par les grands réseaux sociaux, les "junk news" s’y répandent, d’après des experts, à un rythme bien plus rapide avant les élections américaines du 6 novembre que lors de la campagne présidentielle de 2016.
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Elles ont la trentaine, des carrières brillantes, souvent des convictions féministes et surtout aucun complexe : une génération de jeunes femmes partent à l’assaut des médias africains, en utilisant les réseaux sociaux comme marchepied.
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