Erratum : Sensibles à la crise financière à laquelle fait face avec un esprit combatif le journal l'Humanité, nous avons malencontreusement reproduit - dans une précédente livraison de cette infolettre - un article témoignage qui a été attribué par erreur à l'Observatoire du journalisme. Toutes nos excuses à nos lecteurs et à nos amis de l'OJD.
EDITORIAL
UPF Internationale poursuit son développement
Par Zara NAZARIAN,
Secrétaire générale internationale
Chère consœur, cher confrère,
Nous voici déjà bien engagés dans l’année, et par la même, dans le nouveau cycle d’activités de notre organisation.
Pour que les choses soient bien entamées, nous avons organisé, à la fin du mois de janvier, une réunion du bureau international, qui était la première réunion de l’équipe renouvelée et élargie. Ainsi, deux adjoints ont rejoint le bureau : il s’agit de Noro Razafimandimby (UPF Madagascar) qui a pris les fonctions de secrétaire internationale adjointe, et de Christian Perrin (UPF Monaco), trésorier international adjoint. Par le choix de ces adjoints, l’UPF internationale a veillé, une fois de plus, à l’équité de genres et à celle de représentation géographique de ses membres.
Le bureau a débattu des questions très variées, portant de la gestion quotidienne de notre organisation jusqu’aux points stratégiques de développement. Cet ordre du jour n’a pas été dû au hasard, mais s’inscrivait clairement dans la lignée de l’engagement pris – celui de la transparence et de la collégialité dans la prise des décisions qui caractérisent depuis quelque temps notre organisation.
Je compte sur la compréhension et sur le soutien de chaque membre de l’UPF pour garder cette tendance et faire de l’UPF une grande organisation internationale proche de chacun de ses membres.
Avec mes amitiés pour chacun d’entre vous,
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Réuni le 28 janvier à Casablanca (Maroc), le bureau international au grand complet sous la présidence de Madiambal Diagne a examiné de nombreux dossiers et affiné ses choix stratégiques développement. Il a ainsi mis en place une commission chargée d’examiner les propositions émanant des sections et d’élaborer un projet de modification des statuts de l’UPF, ainsi qu’un projet de règlement intérieur.
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A la rencontre d’échanges de vœux entre le Président de la République de Côte d’Ivoire Allassane Ouattara et la presse, l’UPF-Côte d’Ivoire, était représentée par sa vice -présidente Thérèse Yobouet et sa secrétaire générale, Viviane Mouhi Akré.
Notre consœur n’a pas hésité à proposer que les femmes prennent la parole lors de ces rendez-vous traditionnels avec la presse.
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Lors d’une assemblée générale réunie le 25 janvier à Budapest, les membres de l’UPF-Hongrie ont élu la rédactrice en chef du journal francophone de Badapest, Eva Vamos présidente de la section. Elle est secondée par Dénes Baracs, Milena Le Conte Popovic,
et Péter Práczki aux postes de vice-présidents. Petra Hajdu, a été élue secrétaire générale de la section.
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"Ces cons de journalistes". Le titre de l’ouvrage du journaliste Olivier Goujon est ironique. La réalité l’est tout autant. Où l’on peut accepter de gagner 500 euros par mois après 40 ans de métier et se laisser acheter à coups de voyages, de foulards, et de stylos.
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La fracture médiatique est béante. Dans de nombreux pays, la confiance est disputée aux journalistes. Une partie de la population estime que les médias ne parlent pas d’elle ou la caricaturent. En France, le mouvement des gilets jaunes met en cause, et parfois violemment, leur rôle et leur indépendance. Où se situe la déontologie dans ce débat ?
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Allez, c’est promis : demain, on rase gratis ! Enfin, presque, si l’on en croit cette information parisienne du « Figaro » : la maire a décidé, écrit le journal, de « gratuiser » prochainement les transports en commun pour les enfants. L’intention est louable. Pas le mot. Il n’est pas beau et il n’est pas bon. « Gratuiser » est un verbe ancien qui signifie « réduire en copeaux » : pitié pour les petits parisiens ! « Gratuitiser » serait plus judicieux mais c’est encore plus laid… et plus difficile à prononcer.
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Les deux journalistes du quotidien « le Jour », arrêtés depuis le lundi 26 janvier à Douala, alors qu’ils couvraient l’arrestation de Maurice Kamto, ont été libérés vendredi 1 février 2019. Les deux reporters installés à Douala, ont regagné leur rédaction à Yaoundé. Leur arrestation avait suscité l’indignation dans les rangs des organisations professionnelles, notamment le Syndicat national des journalistes du Cameroun (Snjc) qui l’avait qualifiée de "tentative d’intimidation".
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Il y a de plus en plus des plaintes en justice contre des journalistes pour "diffamation". Cela inquiète tout légitimement certains professionnels de l’information qui soupçonnent des tentatives d’intimidations et de musellement de la presse.
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102 cas de pressions et autres attaques envers des journalistes et d’autres professionnels des médias ont été recensés en Serbie. Une tendance à la hausse inquiétante pour l’État candidat à l’UE.
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Licencié pour avoir lancé l’alerte. Telle est l’histoire de Louis Robert, un agronome du ministère de l’Agriculture, licencié pour avoir informé les médias de l’influence de lobbys privés sur les recherches menées sur les pesticides.
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L’Observatoire de la Liberté de la Presse en Afrique (OLPA), organisation indépendante de défense et de promotion de la liberté de presse, condamne l’agression de Dieu Makesela, reporter-cameraman à « Tokomi Wapi ? », magazine d’informations générales diffusé sur plusieurs médias émettant à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC).
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Le Ministre de l’Intérieur a reçu, jeudi 31 janvier, une délégation du Syndicat des Professionnels de l’Information et de la Communication du Sénégal (Synpics). Aly Ngouille Ndiaye qui avait auparavant interdit la cérémonie de distribution des gilets-presse au Cesti, a pris des mesures fortes.
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Où en sont les médias libanais de la préservation de la paix civile ou de la prévention du racisme et des discours haineux ? Un rapport rendu public par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et intitulé « Identifier les lacunes au niveau des compétences et du savoir dans les médias libanais », montre que le secteur des médias au Liban est souvent en porte-à-faux par rapport au respect de l’éthique journalistique.
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Taxer Google, Apple, Facebook et Amazon pour assurer la survie de la langue française et de la culture francophone au pays : voilà, en substance, ce qu’ont proposé jeudi 24 janvier des patrons de grands médias québécois et canadiens, sans s’entendre sur les moyens à prendre pour adapter les médias au 21e siècle.
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Le quotidien communiste L’Humanité, fondé en 1904 par Jean Jaurès, a lancé le 27 janvier un appel à la mobilisation générale. En cessation de paiements, il a demandé à ses lecteurs d’organiser un "soutien populaire et citoyen" pour l’aider à surmonter ses difficultés financières.
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Après s’être implantée aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Australie, l’application d’agrégation de nouvelles Apple News s’apprête à s’installer au Canada. Le géant du Web devient ainsi « un partenaire obligé » pour les médias francophones et anglophones, estime le professeur en communication Alain Saulnier.
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Le paysage médiatique algérien accueille un nouveau projet sur l’image de la femme dans les médias. Baptisé ”لها ما تقول”, “elle a son mot à dire”, ce programme prévoit un séminaire, une série de formations et un concept d’émissions, sur les sujets qui ont trait à la femme, à écouter sur les ondes de “Radio voix de femmes”.
″لها ما تقول” a pour objectif de réhabiliter l’image de la femme dans les médias.
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